Un rêve pour ne pas l'oublier: Je suis avec l'ami de mon âme et l'ami des chevaux, dans la ville de Lyon.
Nous sortons de la gare, Il y a - ambiance de fête foraine - un manège avec des avions tenus par des bras articulés, qui s'élancent dans l'air, juste devant le palais de la gare. Enchantée, je m'éloigne de mes deux amis sur un pont, pour saisir des images, mais l'ami des chevaux décide péremptoirement - comme il le fait dans la réalité - de me "confisquer" l'appareil de photos. Je continue donc à m'avancer sur le pont, où un décor d'arcades de fleurs en plastique suspendues en arceaux séduisent mon regard et peu à peu je m'éloigne...Puis m'apercevant de ma distance, je demande ma route à des passants. Je décris l'endroit: un palais avec un manège. mais dans les endroits indiqués, ce sont de vraies places avec fêtes foraines et nombreux manèges...se sont-ils installés? je ne reconnais pas le lieu, je continue à demander mon chemin. Sur une sorte de place-square aux arbres filiformes des hommes qui vivent sans toit tel Diogène sont en train de philosopher, de longues conversations inspirées et profondes, ils sont cinq, plongés dans la conversation et à ma demande de trouver mon chemin, me disent de m'installer, je n'ose les interrompre ni les contrarier, je demeure avec eux. Soudain une descente de police demande de quitter les lieux dans la précipitation. Comme le lieu est riche de trésors et inspiré, je saisis dans la fuite trois masques d'ivoire semblables à de beaux visages paisibles. Je cherche mes chaussures tennis vertes que j'ai posé, mais ne les trouve pas. un de philosophes des rues me propose des tongs vertes, que je refuse au départ puis accepte, mais l'une est cassée. je voudrais retrouver mes deux amis dans la ville mais comment: l'un m'a pris mon appareil de photo qui est aussi portable